Encore et encore mes potes lamantins à l’honneur ! Vous me dîtes quand vous en avez marre ! 🙂
Et si vous préférez les cachalots, les raies, les requins baleines et autres dauphins, visitez les magniques galleries d’Ellen Cuylaerts. Mais bon sinon il y a aussi des lamantins … 🙂
Aujourd’hui 22 Avril, après 2 jours de printemps, c’est le « Jour de la Terre » ou plus communément appelé anglais : the « EARTH DAY » !
La photo illustrant ce post, ell,e n’a pas été mise par hasard : une photo de la Terre vue du ciel …sur cette partie bien spécifique de la planète.
En effet tout pays occidentaux que nous sommes, pseudo-leaders de notre monde actuel, c’est de ce côté que va se jouer l’avenir de l’humanité :
– si nous avons par notre quotidien d’occidentaux, encore une influence beaucoup plus importante que le quidam lambda, notre natalité est minime et nous pouvons difficilement polluer plus que nous le faisions ;
– en revanche, la Chine, l’Inde et le reste de l’Asie, par leur développement galopant, décideront de notre futur..et sur cette image, se retrouvent 14 des 20 pays les plus peuplés du monde.
A l’origine de ce post et avant tout autre considération, cette magnifique photo de poulet Tandori…tirée encore et toujours du site de JamieOliver !
Après avoir occupé mes nuits durant des années sur – feue – CUISINE TV (qui a été supprimée des ondes…le mois dernier ! Snif…) le site internet ainsi que le groupe Facebook ont pris le relais …et puis au pire, il me resterait la dizaine de bouquins de cuisine que j’ai de lui !
Alors du coup, bonus du jour, toujours avec Jamie, toujours avec une photo qui inspire, ..et toujours avec du poulet, …direction le Portugal, avec Piri piri chicken with sweet potato wedges ..et des souvenirs d’enfance de vacances d’été qui affluent !
Epice importée de ses anciennes colonies, le pili-pili (ou piri-piri) est emblématique du Portugal, où les poulets pili-pili sont en vente sur les bords de route ..enfin du moins c’était comme ça quand j’y étais gamin !
Anecdote du jour : la découverte de l’échelle de Scoville ou comment savoir à quel point je suis une lopette en matière de piment !
Petite pensée en passant à mon ‘tit Alex des îles qui croquent les piments oiseaux comme ça …moi il m’a fallu 1 mois en Asie du Sud-Est pour commencer à habituer mon palais et ne plus pleurer à chaque erreur de choix de plats au restaurant …et encore, heureusement que j’avais commencé par l’Indonésie
Cette dernière recette est même disponible en vidéo, version web-TV :
Pour finir, découvrez les exploits de l’invité – taré de service – de Jamie : Louis Cole, connu pour ses exploits « culinaires » à travers le monde …à savoir manger les pires choses qui puissent être ..vivantes qui plus est !
Il a commencé par une « simple araignée » de chez lui, a fait sensation en Angleterre avec un poisson rouge…mais moi celle que je préfère c’est les cancrelats géants ! Je déconseille par contre fortement, notamment aux plongeurs, la chtite pieuvre ! Snif !
La totale sur FoodForLouis…dont je me garde bien cependant d’exposer les vidéos en direct sur ce post.
Ah les joies de YouTube et du 21ième siècle ! Sur ce, je vais plutôt me re-regarder les 2 magnifiques photos du début et partir à la recherche de nouvelles.
Jour normalement réservé aux petits poissons à accrocher dans le dos et aux blagounettes (comme de projeter la Creuse en Auvergne!), le 1ier Avril dernier a été beaucoup moins potache sur Canal+ en prime time avec la diffusion du documentaire « Les Requins de la Colère » de Jérôme Delafosse.
Reporter, voyageur et membre des Nouveaux Explorateurs, génialissime émission de la chaine cryptée (sur laquelle je reviendrai prochainement dans un post sur mes émission TV de voyage préférées), il fut même abeille à ses jeunes heures …
Mais dans ce reportage grand format, c’est le plongeur, l’écologiste et le défenseur de notre planète qui s’exprime et tente à sa manière de lutter contre la catastrophique image que peuvent avoir les requins dans notre société (merci monsieur Spielberg..et Disney aussi !) …mais surtout pour dénoncer les ravages de notre société de consommation sur ces animaux, placés en haut de la chaîne alimentaire des océans et indispensables à leurs survies !
Le dossier de presse du documentaire ..mais surtout, ô joie du net, la vidéo en ligne du documentaire …dans son intégralité. Profitez-en, ça ne durera peut-être pas :
Plus de 10 ans que je reluque PATAGONIA, marque franco-américaine de fringue/matériel technique et pro-environnement ….
…plus de 10 ans sans jamais rien acheter …pas même une casquette, pas même un porte-clé ou un auto-collant …pas même profité du petit frère qui a bossé 1 an en face de la maison-mère France !
Mais ça, c’était avant !!!
Tout nouvel entrant dans ma collection de sacs (j’ai une petit tendance à en avoir un pour chaque activité, pour chaque climat, chaque nombre de jours partis, …etc) le « Patagonia Transport Roller 60L » sac-valise à roulettes pour courts séjours.
Et bien sur, PATAGONIA oblige, le tout est en matériau recyclé et fourmille de petits trucs et astuces dans chaque recoin !
Rendez-vous dans quelques semaines après quelques utilisations pour un retour.
Petit retour sur la marque PATAGONIA, créée il y a de cela plus de 40 ans par Yvon CHOUINARD, alpiniste franco-américain, et qui a l’heure actuelle, apparait comme l’une des marques les plus respectueuses de l’environnement qui puisse être …dans notre société libérale consumériste !
Cherchant non seulement à se fournir de la meilleure façon qui soit en matières premières, PATAGONIA s’attache aussi à une traçabilité et un respect des modes de productions et des travailleurs comme peu d’autres entreprises :
Bref, PATAGONIA, c’est de la balle, et je suis trop fier de mon chtit « sakaroulet' » …et pour finir en beauté, la « relève » n’aura pas à attendre tant d’années pour porter du PATAGONIA, puisque dès l’automne prochain, ce sera en « bouteilles recyclées » que mini-Faf’ affrontera les bourrasques de vent du sud de la France.
L’International Ocean Film Tour, c’est un festival international consacré aux sports d’eau extrêmes, et qui, pour sa 2ième édition, passera pour la 1ière fois par la France.
6 films pour plus de 2h de programmation dont :
– The Crystal Labyrinth (par Bryan Smith & David Pearson) :
Direction les Bahamas et leurs fameux « blue holes » ..mais point de plages de sable fin ni de Dean Blue Hole (lieu du fameux « Freefall » de Guillaume Néry …et camp de base de l’autre master apnéiste William Trubridge) …
…non, cette fois-là, les 2 plongeurs Brian Kakuk et Brett Hemphill nous amènent à l’intérieur des terres, loin des plages, à la découverte du réseau gigantesque qui se trame sous les pieds des habitants de ces îles paradisiaques, véritable « labyrinthe » aquatique souterrain !
– (R)Evolution (par Rob Stewart) :
Après avoir tourné un documentaire reconnu sur les machinations de l’industrie du requin, ce jeune biologiste marin prend conscience que c’est non seulement les requins mais notre planète entière qui est au bord de l’extinction.
Son nouveau but : protéger les mers du monde avant qu’il ne soit trop tard. Et ceci ne réussira que grâce à une campagne d’information, qu’il débute avec son nouveau court-métrage (R)Evolution.
Extrait :
– And Then We Swan (par James Adair and Ben Stenning) :
Là le synospis de ce court-métrage est archi-facile :
« Pince-mi et Pince-moi sont sur un bateau. Pince-mi ET Pince-moi tombent du bateau, …qui reste sur ce dernier ?
Ou l’histoire de 2 glands ayant tenté de traverser un océan en tongs ! »
Pour la suite, du surf, du wakeboard et plein d’autres surprises à aller découvrir en salle …
…mais ATTENTION, ne vous ratez pas les petits frenchies, les dates sont rares pour l’hexagone et qui plus est très …comment dire …océaniques !!!!
…ET NOTAMMENT PARIS, CE VENDREDI 10 AVRIL :
en revanche pour les frontaliers ou résidents en terres germaniques, c’est le « festival », c’est le cas de le dire …mais bon c’est un peu normal, c’est le pays à l’origine du projet !